C’est subtil mais on vous explique !
La stévia est une plante dont on extrait des molécules sucrantes. Et aujourd’hui, ce processus d’extraction n’est pas labellisé « Bio ».
Mais lorsque nous cultivons et conditionnons la feuille de stévia bio en elle-même, alors le label Agriculture Biologique peut s’appliquer. C’est pour cela que la référence de Stévia Bio Daddy 30g est labellisée AB !
Tâchés, mais bons à consommer !
Il est tout à fait possible d’observer ce genre de tâche sur des morceaux. Soyez rassurés, ils restent tout à fait consommables !
Nos morceaux n°4 canne et demi-rond canne sont fabriqués à partir de sucre de canne blanc auquel on a ajouté une légère touche de caramel 100% naturel issu de la canne. Il arrive parfois qu’au cours de la production, la quantité de caramel ne soit pas très homogène et ne se répartisse pas bien, ce qui peut créer ces tâches. Si vous avez le moindre doute, contactez-nous via notre formulaire de contact.
Quand il y a trop d’amour dans un paquet, les grains finissent toujours tous ensemble !
Malgré notre vigilance, si quelques blocs apparaissent dans votre paquet, c’est que votre sucre a motté. Ce sucre motté peut être tout simplement brisé à la main ou écrasé dans le paquet.
Notre conseil : n’essayer pas de casser du sucre sur le dos de quelqu’un, ça risque de ne pas marcher et même de vous porter préjudice.
Pas de panique !
Il arrive parfois de retrouver de toutes petites particules noires dans vos boîtes de sucre. On appelle cela des incuits, c’est-à-dire du sucre qui a subi une sur-cuisson et qui a donc cet aspect compact et noirâtre. Ces particules ne présentent aucun risque pour la santé. Si vous avez le moindre doute, contactez-nous via notre formulaire de contact.
Mais, quelle est cette odeur ?
Il n’est pas rare de sentir une odeur de renfermé dans un profil pack de sucre blanc de betterave. Il s’agit en réalité d’une odeur que l’on caractérise de « végétale » et cette odeur est justement caractéristique du sucre de betterave. Notre emballage Profil Pack étant hermétique, cette odeur a tendance à se renforcer au fil du temps.
On vous l’accorde, elle n’est pas très agréable, mais soyez sereins, votre sucre est tout à fait consommable 🙂 Si vous avez le moindre doute, contactez-nous via notre formulaire de contact.
Il vous manque un grain ? ou vraiment un peu plus ?
Nos lignes de conditionnement sont équipées de trieuses pondérales régulièrement vérifiées qui éjectent les produits qui ne respectent pas le poids indiqué dans le paquet. De plus, une trieuse pondérale sera plus précise qu’une petite balance ménagère, il se peut donc qu’il y ait certains écarts.
Néanmoins, personne n’est parfait ! Si votre paquet vous semble trop léger parce que quelques grains se sont faits la malle, alors n’hésitez pas à nous contacter via notre formulaire de contact.
Pas de hic pour les diabétiques !
Même si ce n’est pas inscrit sur nos packs, soyez rassurés. Nos produits à base de stévia conviennent tout à fait aux diabétiques.
On n’est pas raffiné, on est bien plus que ça 😉
Nos sucres de betterave sont non raffinés. Pas d’artifice ou de magie, le sucre de betterave est naturellement blanc.
Quant à nos sucres de canne, la majorité d’entre eux ne subissent aucune transformation et ne sont pas raffinés. Pour ce qui est des morceaux 4 et des demi-ronds de canne, ils sont effectivement blanchis puis agrémentés d’une légère touche de caramel naturel issu de la canne pour faciliter le moulage.
Restez connectez avec la fibre Daddy !
Fibres&Stévia c’est l’association 100% d’origine naturelle d’extraits de stévia et de fibres de chicorée. La stévia pour son fort pouvoir sucrant et la chicorée pour son goût caramélisé et son apport en fibres.
Une combinaison gagnante, faible en calorie, riche en fibres végétales et très gourmande !
Avec passion et partage !
Nos sucreries sont gérées localement pas nos 10 000 agriculteurs coopérateurs. Ils cultivent de manière locale leurs betteraves sucrières.
Avec amour, au cœur de nos régions françaises !
Notre sucre blanc de betterave est garanti 100% agriculture française. Il est produit et conditionné dans les régions du Centre, Grand-est, Normandie et Hauts-de-France.
Tout est façonné localement afin de garantir un circuit le plus court possible. Ainsi, nos sucreries sont toujours à coté des agriculteurs ! Eh oui, nos sucres sont produits et conditionnés en moyenne à 30km des exploitations agricoles.
Une belle histoire française !
En 1967, un regroupement d’agriculteurs décide de créer une coopérative agricole dans la région Grand-Est. Grâce à cette coopérative, ils deviennent tous propriétaires et coopérateurs des sucreries de la coopérative. Suite à ce regroupement, la marque Daddy voit le jour en 1981.
Eh oui, tous issus d’une plante !
Tous nos sucres, qu’ils soient de betterave, de canne, d’agave, ou autre, sont 100% d’origine naturelle et tous issus d’une plante. Eh oui, Daddy veille au grain… de sucre ! 🙂
Daddy, Daddy cool !
Le créateur de la marque Daddy se faisait appeler « Daddy » par ses petits-enfants ! C’est donc tout simplement que cette personne s’est inspiré de sa famille pour créer cette marque, au nom ludique, rythmé, sympahique et enfantin 🙂
Et vous, comment vous appellent vos petits enfants ?!
Engagé dans le mieux manger !
Ce n’est pas parce que le sucre est noté D au nutriscore qu’on ne peut pas en manger.
Car par dessus tout, on sait qu’un bon équilibre alimentaire est important et qu’il ne faut pas négliger non plus les petits plaisirs.
Et parce qu’on veut faire mieux et différemment, on vous écoute et on s’engage auprès de vous dans une consommation du sucre responsable. C’est pourquoi nous imaginons des portions plus petites mais ludiques, ou encore des alternatives, toujours d’origine naturelle, comme avec la stévia, l’agave ou la fleur de coco.
Parce qu’il n’existe pas qu’un sucre, mais des sucres, et qu’ils se consomment avec mode et ration !
Daddy ose la métamorphose !
Vous l’avez peut-être remarqué ?! L’ensemble de nos poches souples à bouchon (appelées Profil Pack pour les intimes) se sont métamorphosées.
Eh oui, exit le 100% plastique, nos poches sont désormais composées de papier kraft non blanchi et à présent recyclables.
Grâce à cet engagement, Daddy apporte une réponse concrète et réduit de 19% le poids de ces poches souples, ce qui représente une économie d’environ 7,5 millions de bouteilles en plastique par an !
Et parce que la perfection n’est pas de ce monde, on vous l’accorde, notre nouveau pack sera un peu plus froissé, un peu plus marqué, mais il est conçu pour résister à vos plus grands challenges pâtissiers !
Et n’oubliez pas, une fois vidée, la poche est à recycler !
Tous les jours, on met le paquet !
Tous nos sachets en papier et nos étuis en carton sont, depuis plus de 30 ans, recyclables. Eh oui, avec Daddy, on y croit dur comme sucre !
Nos poches souples ont récemment passé le test de la poubelle jaune et sont elles aussi recyclables. Exit le tout plastique, notre gamme de Profil Pack est désormais composée en majeure partie de papier, et ça change tout !
Mais comme personne n’est parfait, il reste encore quelques emballages plastiques pour vous garantir un niveau d’étanchéité et résistance à l’humidité parfaite. Soyez rassurés, nous travaillons dur pour trouver de nouvelles solutions packaging.
Progressivement modestement mais toujours joyeusement, Daddy apporte son grain de sucre à l’édifice.
Moins = plus !
Chez Daddy on croit dur comme sucre que moins peut-être égal à plus. Alors on essaye progressivement et modestement d’apporter notre petit grain de sucre à l’édifice, en s’engageant vers moins de plastique fossile, plus de papier et de cartons, et moins d’encre sur nos emballages.
Nous avons relevé le premier défi technique de réinventer notre gamme de poche souple à bouchon plastique.
Exit le 100% plastique, ce nouvel emballage est un complexe en papier kraft non blanchi et une fine membrane plastique nécessaire au scellage de la structure et garantissant l’étanchéité. Cette démarche d’éco-conception nous a permis de réduire de 72% la part plastique et de diminuer de 19% le poids de l’emballage.
Notre poche souple kraft, désormais composée de plus de la moitié de papier, peut désormais intégrer la filière de recyclage papier/carton en France et la pulpe cellulosique de la poche peut ainsi être recyclée.
Et pour ceux qui ont une bonne mémoire, la poche souple initiale tout en plastique (PET/PE) ne pouvait, auparavant, intégrer aucune filière de recyclage.
Et total de la gamme Daddy, nous direz-vous ?
95% de nos gisements d’emballages Daddy sont en papier ou carton ! Pas mal non ?
Et tourtant, Daddy sait qu’il faut encore continuer à mieux faire, en privilégiant l’utilisation de matières renouvelable en améliorant constamment la recyclabilité de nos packaging et la réduction du poids des emballages.
Nous travaillons à réduire d’autant plus la part de plastique fossile de nos poches souples avec bouchon. Défi de taille qui demande un temps de recherche et développement !
Une belle et grande famille !
En France, environ 44 500 personnes travaillent dans la filière betterave-canne-sucre. Eh oui, ça en fait du monde ! Les campagnes sucrières ne durant pas toute l’année, les employés permanents travaillent sur la maintenance et la modernisation des sites en dehors des périodes de campagne.
On n’est pas chauvin ! Enfin…si un peu !
Sortez les drapeaux, la France est le 1er producteur de sucre blanc de l’Union Européenne. C’est également le 2ème producteur mondial de sucre de betterave. Pas mal, non ?
Mais où est Charlie ?!
Il existe une vingtaine de sucreries en France. Elles sont principalement situées dans le Nord de la France, entre le Loiret et le Pas-de-Calais.
Main dans la main avec les Antilles !
Au sujet de la canne à sucre, la France est le seul pays de l’Union Européenne, avec l’Espagne, à en produire : à la Réunion, en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane.
100% végétal, c’est génial !
Tous les sucres Daddy ou alternatives naturelles au sucre sont 100% d’origine végétale et sont donc parfaitement adaptés à la consommation des végétariens et des végétaliens.
Avec Daddy, ne sucrez pas votre plaisir !
Daddy, le plaisir des gourmands !
Comme beaucoup d’autres aliments ou boissons, le sucre doit être consommé avec modération, mais ce n’est pas pour autant qu’il ne peut pas être votre ami.
Le sucre est une source de glucides et ne se consomme pratiquement jamais seul. Il s’utilise en condiment ou bien avec d’autres produits tels que les biscuits, gâteaux, yaourts, confitures, boissons, etc. Des préparations faites maison dans lesquelles vous pouvez bien entendu doser le sucre selon vos envies.
Une alimentation équilibrée et variée n’est pas incompatible avec le plaisir, bien au contraire. S’accorder un petit encas ou une petite pause sucrée est tout à fait autorisé. N’oubliez pas de pratiquer une activité physique (c’est bon pour le moral, c’est bon bon ! 😉 )
Pas de hic pour les diabétiques !
Oui vous pouvez manger du sucre ! Tant que vous en maitrisez les quantités. Du moment que votre ration glucidique est respectée, il n’y a pas de contre-indication à la consommation de sucre pour les diabétiques.
Il s’agirait de ne pas botter en touche !
Les glucides sont une source importante d’énergie et doivent contribuer à environ 50% de l’apport énergétique. Ils sont généralement privilégiés pour les efforts longue durée du type endurance. Marathoniens, c’est pour vous !
En tant que sportif, il est conseillé de consommer des aliments à indice glycémique bas plusieurs heures avant l’effort, à indice glycémique modéré pendant, et indice glycémique élevé après.
A chaque moment son aliment !
Pas de hic pour les diabétiques !
Même si ce n’est pas inscrit sur nos packs, soyez rassurés. Nos produits à base de stévia conviennent tout à fait aux diabétiques.
Tout est une question de mode et ration !
Arrêter le sucre lors d’un régime sans modifier le reste de ses habitudes alimentaires, ça ne sert à rien. Dans le cas d’un surpoids, l’ensemble des habitudes alimentaires doivent être passées en revue et modifiées en fonction du constat.
Mais ne sucrez pas pour pour autant votre plaisir ! Il est même conseillé de conserver un peu de sucre et des moments de plaisir pour ne pas craquer et permettre une meilleure acceptation du régime.
Bien entendu, sans oublier de pratiquer une activité sportive ! Allez 1, 2,3,4 !
Pas de panique, Daddy vous explique !
L’indice glycémique (IG) varie selon de nombreux facteurs comme la forme de l’aliment, son association avec d’autres nutriments, sa cuisson ou encore sa consommation. Il permet de classer les aliments selon la vitesse à laquelle les glucides passent dans notre sang et sont absorbés par l’organisme.
Pour l’interpréter, rien de sorcier ! Plus il est élevé, plus les glucides se diffusent rapidement.
Et si Daddy était bien les rois des mathématiques ?
Sortez les calculettes ! 1g de glucides produit 4kCal, (soit 16,8 kJ).
Un morceaux de sucre n°4 pesant 6g représente donc 24 kCal et le morceau n°3, 32 kCal.
Le demi-morceau rond de Daddy (3g) représente, quant à lui, 12 kCal.
Et ainsi de suite 😉
Vous avez tenu le coup ?
Rien de plus simple !
Les feuilles de Stévia s’utilisent comme du thé ou de l’infusion. Laissez infuser dans une eau chaude 3 feuilles de stévia et cela suffit à sucrer votre boisson chaude. Laissez-les simplement infuser entre 3 et 5 minutes pour qu’elles libèrent leur goût sucré !
Plutôt cœur tendre ou cœur de pierre ?
Que 2 ingrédients pour des meringues : des blancs d’œufs et du sucre !
Faites monter vos blancs en neige jusqu’à ce qu’ils soient fermes et ajoutez-y le sucre délicatement et progressivement pour ne pas les casser (pour 4 œufs, environ 250g de sucre). Une fois le mélange terminé, déposez vos meringues sur une plaque et enfourner ! 30 minutes pour une moelleuse gourmandise, 1h pour des meringues juste croquantes au coeur tendre 😉
Comme toujours gardez un oeil sur la cuisson et ne perdez pas de vue vos petits, chaleureusement placés au four!
Un pour deux ! Tous pour la fibre !
Comme pour notre référence de Stévia en poudre 150g, le calcul est simple. Une cuillière de Fibres&Stévia a le même pouvoir sucrant que le sucre. Donc, si vous devez utiliser 100g de sucre, vous pouvez le remplacer par 50g de Fibres&Stévia.
Mais, vous vous en doutez, tout cela dépend aussi de vos goûts et habitudes sucrées. Alors n’hésitez pas à adapter ce dosage en fonction de vos envies !
Pour un caramel sensationnel !
Le secret, c’est la cuisson ! Ne jamais la lâcher des yeux. Pour 100g de sucre blanc, vous pouvez ajouter 3 cuillères à soupe d’eau. Dès que le caramel a pris, trempez directement votre casserole dans une bassine d’eau froide, cela stoppera la cuisson ! Retirez ensuite la casserole, laissez refroidir et… surprise ! Du caramel !
Du sucre et de l’eau !
Vous voulez épater la galerie avec un magnifique glaçage ? Rien de plus simple !
Un peu de sucre glace, un peu d’eau, on mélange, et le tour est joué ! Pour 1 verre de sucre, mélangez avec 2 cuillères à soupe d’eau. Et pour les plus fougueux, vous pouvez l’arômatiser légèrement en remplaçant un peu d’eau par du rhum, ou bien en ajoutant un peu de cannelle.
Parce que ça fait classe ! Mais pas que 😉
Le sucre glace est idéal en pâtisserie ! Les grains de sucre sont broyés et moulus tellement fins, que cela en devient un sucre impalpable (comme disent nos cousins Belges !).
Le sucre glace pourra être saupoudré sur un gâteau pour le sublimer (on vous sait impatient, mais attendez quand même que votre gâteau refroidisse !) ou tout simplement utilisé pour faire un glaçage, des meringues, macarons ou mousses au chocolat !
La moisissure : un problème de température !
C’est le cas lorsqu’elles manquent un peu de cuisson. Si elle est juste un peu moisie en surface, il suffit d’ôter la pellicule avant de la déguster sans attendre. Au besoin, vous pouvez la faire recuire en lui ajoutant un peu d’eau.
Une paire d’années, parfait pour la partager !
Pour une meilleure conservation, renversez les pots fermés pendant une demi-journée. Vous pouvez conserver vos préparations au moins 2 ans. Avec le temps, son parfum sera plus doux.
A chaque question, sa solution !
Si votre mélange accroche, c’est que le feu est trop puissant et/ou que vous ne remuez pas assez. Il faut donc que le mélange bout mais en mettant le feu au minimum, et surtout, restez bien actif et remuer régulièrement.
Avec l’âge, tout se bonifie !
Stockez vos pots dans un endroit sec, frais et à l’abri de la lumière. Dans ces conditions, vous pourrez les conserver des années. Et pour les reconnaître, n’oubliez pas de coller sur le pot une jolie étiquette écrite à la main avec la variété et la période de réalisation.
Ce qui fera le charme de vos préparations ? Les différences que vous pourrez observer en fonction des fruits, des couleurs, de leur maturité et de leur évolution. D’une année sur l’autre vous pourrez établir des millésimes
Plus on est de fous, plus on rit !
Quelle bonne idée de jouer l’originalité, revisiter les classiques ou simplement agrémenter vos confitures et gelées traditionnelles d’épices. Eh oui, certaines épices jouent un rôle d’exhausteur d’arôme 100% naturel.
Quelles que soient les épices que vous utilisez : gingembre, fève de tonka, cannelle, mélanges d’épices ou même les poivres, pensez à avoir la main légère sur le dosage car les parfums des épices se renforcent lorsque votre préparation refroidit et pendant les jours qui suivent.
Les meilleurs fruits ? Ceux de votre imagination !
C’est la qualité des fruits qui fera la qualité de votre préparation. Privilégiez les fruits non traités. Choisissez-les mûrs à point et éliminez sans état d’âme ceux qui sont abîmés, tachés, trop mûrs, pas assez mûrs, sans goût.
Ne préparez pas de confiture ou gelée de fraises avec des fruits trouvés en décembre : respectez les saisons, vous trouverez suffisamment de variétés tout au long de l’année. Vous pouvez aussi utiliser des fruits de saison qui ont été congelés dans de bonnes conditions.
Avec plein d’amour !
En général et sauf contre-indication, remplissez vos pots lorsque la confiture ou gelée est encore chaude. Remplissez vos pots à ras bord, vissez le couvercle et retournez-les. Cette étape avec les pots à l’envers permettra de faire le vide d’air dans les pots et de vous garantir une bonne conservation. Nettoyez-les avec une petite éponge humide.
Vous pouvez aussi faire couler une couche de paraffine fondue au bain marie à la surface du pot et couvrir avec une feuille de cellophane. Et n’oubliez pas de laisser refroidir vos pots (à l’endroit cette fois-ci).
Salade de fruits, jolie jolie jolie…
Si vous mélangez des fruits, il faut également se fier à l’échelle de temps.
Pour des fruits qui nécessitent le même temps de cuisson, il faut appliquer ce temps au mélange ; par contre, si les fruits demandent des temps de cuisson différents, commencez par appliquer un temps intermédiaire sans oublier de vérifier la cuisson avec le test de la soucoupe !
C’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures confitures !
Avant de mettre vos préparations en pots, stérilisez minutieusement ces derniers. Rien de très compliqué puisqu’il vous suffit de placer vos bocaux ouverts et leurs couvercles dans une grande marmitte d’eau bouillante et de les laisser immerger pendant environ 10min.
Si vous avez des bocaux avec une rondelle de caoutchouc, stérilisez-les pendant environ 3min, sinon la rondelle deviendra trop molle. Une fois le temps écoulé, retirez vos bocaux et couvercles à l’aide d’une pince (oui, c’est chaud ! ça brûle !). Les plus experts d’entre vous auront peut-être une pince spéciale. Sinon pas de panique, la pince du barbecue fera très bien l’affaire ! Placez ensuite vos bocaux à l’envers sur un torchon propre, et faites de même pour les couvercles.
Et hop ! Dès que votre confiture est prête, remplissez les pots. On vous conseille d’avoir une louche à proximité, toujours bien utile pour remplir les pots. N’oubliez pas la dernière étape : une fois remplis, retournez vos pots pendant environ 10 minutes. Cela vous permettra de bien stériliser le haut du pot et de vous garantir que le vide d’air est bien fait.
Pas de panique, Daddy a la technique !
Trempez une cuillère dans la gelée, retirez-la et inclinez-la. La gelée doit couler uniformément et tomber en goutte épaisse, sinon continuez la cuisson encore 30 secondes à 1 minute.
La cuisson…elle donne le frisson !
Deux petits conseils pour réussir sa cuisson à merveille !
Attention aux coups de chaud !
Votre préparation semble foncée, c’est qu’elle est trop cuite. Malheureusement, il n’y a pas grand-chose à faire.
Mais ne la gâchez pas pour autant! Nous vous conseillons de la manger très vite et de la partager avec le plus de gourmands possible ! Car au fond, elle n’est peut-être pas parfaite mais elle reste certainement très bonne et gourmande !
Le temps de prendre la po(au)se !
Si vous utilisez le sucre Daddy Spécial Gelée à base de sucre et de pectine de fruit, nous vous conseillons de respecter le temps de cuisson approprié à chaque nature de fruit. Les temps de cuisson seront relativement courts, ce qui garantit une prise rapide et conservera la couleur éclatante des fruits et l’intensité des saveurs :
Si vous utilisez le sucre Daddy Spécial Confiture à base de sucre et de pectine de fruit, nous vous conseillons également de respecter le temps de cuisson approprié à chaque nature de fruit. Les temps de cuisson seront relativement courts, ce qui garantit une prise rapide, tout en conservant la couleur éclatante des fruits et l’intensité des saveurs :
Si vous utilisez le sucre cristal Daddy ou un sucre semoule classique, il faudra plutôt partir sur 15 à 20 min de cuisson. Mais gardez l’oeil ouvert car toute cuisine demande de l’amour et beaucoup d’attention.
Il vaut mieux trop, que pas assez 🙂
Si le résultat est trop liquide, c’est qu’elle n’est pas suffisamment cuite ou que les fruits contiennent encore trop d’eau et pas assez de pectine. Dans ce cas, il faut la cuire à nouveau pour que l’eau s’évapore.
Au besoin, vous pouvez ajouter un peu plus de Sucre Daddy Spécial Confiture ou Gelée pour augmenter la part de pectine et ainsi renforcer la prise. Quelques morceaux de pomme ou même quelques gouttes de citron, tous 2 très riches en pectine, peuvent aussi être appelés à la rescousse!
Le temps de prendre la po(au)se !
Si vous utilisez le sucre Daddy Spécial Gelée à base de sucre et de pectine de fruit, nous vous conseillons de respecter le temps de cuisson approprié à chaque nature de fruit. Les temps de cuisson seront relativement courts, ce qui garantit une prise rapide et conservera la couleur éclatante des fruits et l’intensité des saveurs :
Si vous utilisez le sucre Daddy Spécial Confiture à base de sucre et de pectine de fruit, nous vous conseillons également de respecter le temps de cuisson approprié à chaque nature de fruit. Les temps de cuisson seront relativement courts, ce qui garantit une prise rapide, tout en conservant la couleur éclatante des fruits et l’intensité des saveurs :
Si vous utilisez le sucre cristal Daddy ou un sucre semoule classique, il faudra plutôt partir sur 15 à 20 min de cuisson. Mais gardez l’oeil ouvert car toute cuisine demande de l’amour et beaucoup d’attention.
Il vaut mieux trop, que pas assez 🙂
Si le résultat est trop liquide, c’est qu’elle n’est pas suffisamment cuite ou que les fruits contiennent encore trop d’eau et pas assez de pectine. Dans ce cas, il faut la cuire à nouveau pour que l’eau s’évapore.
Au besoin, vous pouvez ajouter un peu plus de Sucre Daddy Spécial Confiture ou Gelée pour augmenter la part de pectine et ainsi renforcer la prise. Quelques morceaux de pomme ou même quelques gouttes de citron, tous 2 très riches en pectine, peuvent aussi être appelés à la rescousse!
Tout est possible avec Daddy !
Si vous n’avez pas de sucre à gelée, vous pouvez réaliser vos gelées avec du sucre cristal Daddy, mais il vous faudra plus de patience car le temps de cuisson sera nettement plus long, et par conséquent, les vitamines et la couleur seront moins bien préservées.
La gelée peut aussi avoir du mal à « prendre » si les fruits utilisés sont pauvres en pectine. En revanche, il n’y aura pas de problème pour les fruits riches en pectine comme les pommes, les groseilles, le cassis…
A chaque question, sa solution !
Vous pouvez utiliser des fruits surgelés achetés dans le commerce ou même des fruits que vous avez surgelés vous-même. Pour une confiture, il faut les laisser décongeler directement dans la casserole ou la bassine avant de les faire macérer avec le sucre mais pour une gelée, ils peuvent être utilisés directement !
Ne baissez pas les bras !
Vous remarquez des bulles de gaz ? ou même de la confiture qui a coulé autour du pot ? Il semblerait bien que votre confiture a fermenté. Très souvent, cela est dû à une teneur en sucre insuffisante ou un temps de cuisson arrêté trop tôt. Car oui, le sucre n’est pas là que pour le goût, il a aussi un rôle très important dans la conservation de vos pots.
Ne soyez pas trop pressés !
Pour que les confitures et les gelées finissent de « prendre », il vaut mieux attendre au moins 48 heures avant de les déguster. Saurez-vous résister ?!
Pour faire des gelées sans déchanter !
Pour environ 5 pots de gelée, vous avez besoin de : 1 casserole ou une marmite, un torchon ou une étamine, une balance, une cuillère en bois, 1,5 kg de fruits environ, 1 kg de sucre à gelée Daddy.
On vous explique tout ci-dessous ! 3, 2, 1, partez !
Tadam ! Un magnifique gelée !
La moisissure : un problème de température !
C’est le cas lorsqu’elles manquent un peu de cuisson. Si elle est juste un peu moisie en surface, il suffit d’ôter la pellicule avant de la déguster sans attendre. Au besoin, vous pouvez la faire recuire en lui ajoutant un peu d’eau.
Une paire d’années, parfait pour la partager !
Pour une meilleure conservation, renversez les pots fermés pendant une demi-journée. Vous pouvez conserver vos préparations au moins 2 ans. Avec le temps, son parfum sera plus doux.
Pas de frousse, Daddy à votre rescousse !
En effet, le temps de macération peut varier en fonction de l’humidité des fruits et de la taille des morceaux. Pour obtenir une texture de confiture fondante et conserver tous les arômes des fruits, il est préférable que la totalité du sucre soit dissoute avant la cuisson, n’hésitez donc pas à prolonger la macération de quelques minutes jusqu’à ce que tous les grains de sucre deviennent translucides.
Plus on est de fous, plus on rit !
Quelle bonne idée de jouer l’originalité, revisiter les classiques ou simplement agrémenter vos confitures et gelées traditionnelles d’épices. Eh oui, certaines épices jouent un rôle d’exhausteur d’arôme 100% naturel.
Quelles que soient les épices que vous utilisez : gingembre, fève de tonka, cannelle, mélanges d’épices ou même les poivres, pensez à avoir la main légère sur le dosage car les parfums des épices se renforcent lorsque votre préparation refroidit et pendant les jours qui suivent.
Les meilleurs fruits ? Ceux de votre imagination !
C’est la qualité des fruits qui fera la qualité de votre préparation. Privilégiez les fruits non traités. Choisissez-les mûrs à point et éliminez sans état d’âme ceux qui sont abîmés, tachés, trop mûrs, pas assez mûrs, sans goût.
Ne préparez pas de confiture ou gelée de fraises avec des fruits trouvés en décembre : respectez les saisons, vous trouverez suffisamment de variétés tout au long de l’année. Vous pouvez aussi utiliser des fruits de saison qui ont été congelés dans de bonnes conditions.
Avec plein d’amour !
En général et sauf contre-indication, remplissez vos pots lorsque la confiture ou gelée est encore chaude. Remplissez vos pots à ras bord, vissez le couvercle et retournez-les. Cette étape avec les pots à l’envers permettra de faire le vide d’air dans les pots et de vous garantir une bonne conservation. Nettoyez-les avec une petite éponge humide.
Vous pouvez aussi faire couler une couche de paraffine fondue au bain marie à la surface du pot et couvrir avec une feuille de cellophane. Et n’oubliez pas de laisser refroidir vos pots (à l’endroit cette fois-ci).
Salade de fruits, jolie jolie jolie…
Si vous mélangez des fruits, il faut également se fier à l’échelle de temps.
Pour des fruits qui nécessitent le même temps de cuisson, il faut appliquer ce temps au mélange ; par contre, si les fruits demandent des temps de cuisson différents, commencez par appliquer un temps intermédiaire sans oublier de vérifier la cuisson avec le test de la soucoupe !
C’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures confitures !
Avant de mettre vos préparations en pots, stérilisez minutieusement ces derniers. Rien de très compliqué puisqu’il vous suffit de placer vos bocaux ouverts et leurs couvercles dans une grande marmitte d’eau bouillante et de les laisser immerger pendant environ 10min.
Si vous avez des bocaux avec une rondelle de caoutchouc, stérilisez-les pendant environ 3min, sinon la rondelle deviendra trop molle. Une fois le temps écoulé, retirez vos bocaux et couvercles à l’aide d’une pince (oui, c’est chaud ! ça brûle !). Les plus experts d’entre vous auront peut-être une pince spéciale. Sinon pas de panique, la pince du barbecue fera très bien l’affaire ! Placez ensuite vos bocaux à l’envers sur un torchon propre, et faites de même pour les couvercles.
Et hop ! Dès que votre confiture est prête, remplissez les pots. On vous conseille d’avoir une louche à proximité, toujours bien utile pour remplir les pots. N’oubliez pas la dernière étape : une fois remplis, retournez vos pots pendant environ 10 minutes. Cela vous permettra de bien stériliser le haut du pot et de vous garantir que le vide d’air est bien fait.
Avec l’âge, tout se bonifie !
Stockez vos pots dans un endroit sec, frais et à l’abri de la lumière. Dans ces conditions, vous pourrez les conserver des années. Et pour les reconnaître, n’oubliez pas de coller sur le pot une jolie étiquette écrite à la main avec la variété et la période de réalisation.
Ce qui fera le charme de vos préparations ? Les différences que vous pourrez observer en fonction des fruits, des couleurs, de leur maturité et de leur évolution. D’une année sur l’autre vous pourrez établir des millésimes
A chaque question, sa solution !
Si votre mélange accroche, c’est que le feu est trop puissant et/ou que vous ne remuez pas assez. Il faut donc que le mélange bout mais en mettant le feu au minimum, et surtout, restez bien actif et remuer régulièrement.
Tout est possible avec Daddy !
Si vous n’avez pas de sucre à confiture, vous pouvez réaliser vos confitures avec le sucre cristal Daddy, mais il vous faudra plus de patience car le temps de cuisson sera nettement plus long, et par conséquent, les vitamines et les couleurs du fruit seront moins bien préservées.
La confiture peut aussi avoir du mal à « prendre » si les fruits utilisés sont plus faibles en pectine. En revanche, il n’y aura pas de problème pour les fruits riches en pectine comme les pommes, les groseilles, le cassis…
Attention aux coups de chaud !
Votre préparation semble foncée, c’est qu’elle est trop cuite. Malheureusement, il n’y a pas grand-chose à faire.
Mais ne la gâchez pas pour autant! Nous vous conseillons de la manger très vite et de la partager avec le plus de gourmands possible ! Car au fond, elle n’est peut-être pas parfaite mais elle reste certainement très bonne et gourmande !
La cuisson… elle donne le frisson !
Deux petits conseils pour réussir sa cuisson à merveille !
Ne sucrons pas la macération!
Ne surtout pas oublier l’étape de macération ! Mélangez le sucre et les fruits coupés dans une bassine et laissez reposer jusqu’à complète dissolution du sucre. Cette étape est nécessaire et nécessite environ 15 à 20 minutes. Elle peut aussi être réalisée la veille.
Pas de panique, Daddy a la technique !
Il n’est pas nécessaire de posséder un thermomètre de cuisson. Prélevez une goutte chaude de votre confiture et faites-la tomber sur une petite assiette froide. La goutte doit se figer légèrement et couler doucement sans être liquide. Laissez refroidir et inclinez la soucoupe, si la confiture accroche c’est qu’elle est réussie!
Il vaut mieux trop, que pas assez 🙂
Si le résultat est trop liquide, c’est qu’elle n’est pas suffisamment cuite ou que les fruits contiennent encore trop d’eau et pas assez de pectine. Dans ce cas, il faut la cuire à nouveau pour que l’eau s’évapore.
Au besoin, vous pouvez ajouter un peu plus de Sucre Daddy Spécial Confiture ou Gelée pour augmenter la part de pectine et ainsi renforcer la prise. Quelques morceaux de pomme ou même quelques gouttes de citron, tous 2 très riches en pectine, peuvent aussi être appelés à la rescousse!
A chaque question, sa solution !
Vous pouvez utiliser des fruits surgelés achetés dans le commerce ou même des fruits que vous avez surgelés vous-même. Pour une confiture, il faut les laisser décongeler directement dans la casserole ou la bassine avant de les faire macérer avec le sucre mais pour une gelée, ils peuvent être utilisés directement !
Ne baissez pas les bras !
Vous remarquez des bulles de gaz ? ou même de la confiture qui a coulé autour du pot ? Il semblerait bien que votre confiture a fermenté. Très souvent, cela est dû à une teneur en sucre insuffisante ou un temps de cuisson arrêté trop tôt. Car oui, le sucre n’est pas là que pour le goût, il a aussi un rôle très important dans la conservation de vos pots.
Ne soyez pas trop pressés !
Pour que les confitures et les gelées finissent de « prendre », il vaut mieux attendre au moins 48 heures avant de les déguster. Saurez-vous résister ?!
Pour faire des confitures sans déconfiture !
Toute confiture doit suivre la règle : 1kg de sucre spécial confiture pour 1kg de fruits.
Pour environ 5 pots de confiture, vous aurez besoin de : 1 casserole ou une marmite, une balance, une cuillère en bois, une écumoire, 1kg de fruits environ, 1kg de sucre à confiture Daddy.
On vous détaille tout ci-dessous, c’est parti !
Tadam ! Vous avez une superbe confiture !
Le temps de prendre la po(au)se !
Si vous utilisez le sucre Daddy Spécial confiture à base de sucre et de pectine de fruit, nous vous conseillons de respecter le temps de cuisson approprié à chaque nature de fruit.
Grâce à la pectine naturelle présente, les temps de cuisson seront relativement courts, ce qui garantit une prise rapide et permet de conserver la couleur éclatante des fruits et l’intensité des saveurs :
Si vous utilisez le sucre Daddy Spécial Gelée à base de sucre et de pectine de fruit, nous vous conseillons de respecter également le temps de cuisson approprié à chaque nature de fruit :
Si vous utilisez le sucre cristal Daddy ou un sucre semoule classique, nous vous conseillons de plutôt partir sur 15 à 20 min de cuisson. Mais gardez l’oeil ouvert car toute cuisine demande de l’amour et beaucoup d’attention.
Ce qu’elle veut, se faire mousser !
Pas de panique ! On appelle cela « l’écume des confitures ». Il faut l’enlever de vos confitures car elle est chargée d’impuretés et pourrait faire moisir vos réalisations. Vous pouvez donc enlever l’écume en dehors du feu et la mélanger à un délicieux yaourt ou fromage blanc pour un dessert haut en couleur ! Attention cependant, elle ne se conserve pas longtemps.
Mais candira-t-on ?
C’est une spécialité culinaire obtenue suite à une longue cristallisation du sucre. Elle est utilisée pour sucrer les boissons chaudes, ou bien comme source de sucres fermentescibles chez les brasseurs. Le sucre candi est principalement consommé dans le nord de la France.
Rien de bien compliqué !
Il s’agit simplement d’un sucre arômatisé à la vanille. Le sucre vanillé est généralement composé de sucre et de gousses de vanille. Il est très apprécié en pâtisserie, souvent mélangé à du sucre blanc classique.
Rien de bien compliqué !
Le sucre liquide est un sirop de sucre transparent, souvent recommandé pour les diabétiques.
Avec lui, on ne manque de rien !
Le sucre complet doit toute ses qualités nutritionnelles et gustatives à la simplicité de sa fabrication. Le jus de canne associé à un procédé d’évaporation permet de conserver les nutriments de la mélasse afin de vous offrir tous ses bienfaits.
Source de vitamines et minéraux, ce sucre se distingue par ses notes naturelles de caramel et de miel associées à une texture fondante en bouche. Mmh, on va se régaler !
Une belle rousse !
C’est le plus connu des sucres de canne. La cassonade est un sucre cristallisé roux qui provient directement du jus de canne. Elle apporte à vos recettes un léger goût de caramel et apporte du croquant grâce à ses beaux grains.
Envie de voyager ? Prenez la poudre d’escampette avec nos cassonades Daddy !
La base des bases !
Du sucre semoule ? C’est tout simplement du sucre en poudre. Après avoir été broyé et tamisé, le sucre cristal s’affine et devient du sucre semoule. C’est le sucre le plus courant, que vous trouverez dans vos sachets de sucre.
Tous cousins au 1er degré … de sucre !
Une confiture présentera généralement des fruits entiers ou coupés en morceaux. Ce terme est en général réservé pour tous les fruits, hors agrumes.
Le terme marmelade sera quant à lui davantage associé aux agrumes. Une marmelade est composée de pulpe de fruits mais la marmelade d’orange déroge à cette règle puisqu’il s’agit d’une gelée dans laquelle sont ajoutés des zestes d’oranges très finement coupés.
A la différence d’une confiture, une gelée s’obtient à partir du jus des fruits. La peau des fruits et les pépins sont retirés et on y ajoute ensuite le sucre, avant de laisser cuire le tout. Les gelées sont généralement composées de jus de fruits riches en pectine comme les cassis, groseilles, pommes, coings, etc.
Comme un diamant brut !
Le sucre cristallisé, contrairement au sucre semoule, n’est pas tamisé. Il est directement issu du procédé de cristallisation et ne subit aucun changement. Il s’agit du sucre que vous trouvez dans vos sachets de sucre à confiture par exemple.
Un sucre de glace, mais le meilleur pour réchauffer les coeurs 😉
Le sucre glace Daddy est parfait pour saupoudrer tout en douceur toutes vos pâtisseries ! Il est obtenu par broyage des grains de sucre, auxquels on ajoute de l’amidon pour éviter que le sucre ne s’humidifie et fasse des blocs, phénomène appelé mottage.
Tout d’abord… le nom ?
Le sucre cristal est utilisé largement par les « puristes de la confiture ». Cela nécessite lors de la réalisation de la confiture d’ajouter un jus de citron pour garantir la prise grâce à la pectine de ce dernier, mais il vous faudra plus de patience car le temps de cuisson est nettement plus lent et de ce fait long.
Par conséquent, les morceaux de fruits, leur couleur et les vitamines sont moins bien préservés. La confiture peut aussi avoir du mal à « prendre » si les fruits utilisés sont pauvres en pectine.
Si vous cherchez une solution plus rapide et tout aussi simple, le sucre spécial pour confitures/gelées sera le produit idéal pour réaliser des confitures et des gelées en deux coups de cuillères. En termes d’ingrédients, tout est 100% naturel et d’origine végétale : c’est du sucre, de la pectine et de l’acide citrique, tous d’origine naturelle et bien dosés, pour vous aider à réaliser à coup sûr vos confitures et gelées.
Un produit tout en un qui garantit la bonne préservation du goût, des couleurs et des vitamines des fruits grâce à un temps de cuisson réduit (5-8 minutes selon les fruits). Vous obtiendrez alors une confiture lumineuse avec des morceaux entiers et au bon goût de fruits.
Du moment qu’il est Daddy !
La seule différence ? Votre goût !
Les sucres roux et blancs ont le même pouvoir sucrant (à quelques pourcentages près), mais des arômes différents. On trouvera, dans le sucre roux, des notes de rhum, vanille ou cannelle, et des notes de caramel dans le sucre de betterave.
Le meilleur sucre sera donc celui dont les arômes vous plaisent le plus ! En revanche, le sucre roux, qu’il soit de canne ou de betterave, contient des traces de vitamines et de minéraux, que le sucre blanc n’a pas.
Eh oui ! Il a plus d’un tour dans son sac !
Le sucre a en effet tout un tas de propriétés au-delà du simple fait de sucrer ! Vous seriez étonnés de voir toute sa panoplie de pouvoirs …
Alors, qui dit mieux ?
L’amidon ? Un ami qui vous veut du bien !
L’amidon que nous utilisons dans le sucre glace Daddy est de la fécule de pomme de terre. C’est un produit conventionnel, non issu d‘OGM et qui ne renferme aucun des produits allergènes repris sur le Règlement INCO UE N°1169/2011.
L’amidon empêche ainsi que les cristaux de sucre s’agglomèrent les uns aux autres. Votre sucre glace Daddy a ainsi de plus grandes chances de rester tout beau tout doux.
Daddy a toujours un grain d’esprit !
On n’est pas les rois des mathématiques… mais un peu quand même !
Trop de chiffres, ça vous donne mal à la tête ? Ne vous inquiétez pas, avec Daddy, tout est simple !
Le numéro du sucre correspond au nombre de rangées de morceaux, en largeur, contenues dans sa boîte 1kg.
Ainsi, dans une boîte de 1kg contenant des morceaux n°4, il y aura 4 rangées de sucres dans la largeur.
Facile, non ?
Un beau roux, que demander de plus !
La majorité des sucres roux proviennent de la canne, mais il est possible de trouver du sucre roux issu de la betterave sucrière, que l’on appelle vergeoise.
Qu’il soit issu de la betterave ou de la canne, on n’est jamais contre un beau roux au goût prononcé.
C’est sans gluten et c’est une vraie aubaine !
Le gluten vous pose des soucis ? Pas d’inquiétude, tous nos sucres sont naturellement sans gluten. Si vous avez une intolérance, vous pouvez donc consommer notre sucre Daddy et continuez à vous faire plaisir.
S’il vient de Daddy, aucun souci !
La qualité d’un sucre dépend de plusieurs facteurs :
Ces 4 critères déterminent la qualité d’un sucre et sont mesurés grâce à des analyses permettant de classer les sucres blancs en 4 catégories.
Blonds, bruns, roux ou dorés : chez Daddy, nos sucres ont tous un grain (de folie) !
Le sucre de canne, issu de la canne à sucre, est un sucre naturellement coloré. La mélasse, naturellement présente dans les cannes à sucre, enrobe chaque grain de sucre et donne une couleur plus ou moins rousse. La couleur d’un grain de sucre de canne peut donc naturellement varier selon la quantité de mélasse, plus ou moins importante, qui s’est déposée autour des grains de sucre.
Les sucres pure canne bio présentent généralement des grains plus clairs et se rapprochent plus d’une couleur blonde que rousse : ceci est directement lié à la quantité moins importante de mélasse déposée autour des grains.
A l’inverse, le sucre Daddy pure canne Dark Demerara ou le sucre Daddy pure canne complet bio présentent des couleurs plus brunes ou plus foncées car cette mélasse a été gardée en quantité plus importante. Dans ces sucres, on retrouvera ainsi une présence plus importante de minéraux et nutriments.
Blonds, bruns, roux ou dorés, nos sucres sont tous de bonne qualité !
Des petits grains qui font des gros morceaux…
Il a fallu plusieurs étapes pour en arriver à nos morceaux d’aujourd’hui. Daddy vous raconte leur histoire.
Les premiers petits morceaux de sucre sont nés en 1843 : il s’agissait d’un gros carré de sucre scié en morceaux. Il a fallu attendre 100 ans, en 1949, pour créer une machine qui moule directement les morceaux par compression des grains de sucre !
Il faut du temps, et plus précisément le temps qu’il faut 😉
La betterave fonctionne par cycle de 2 ans, c’est une plante que l’on qualifie de bisanuelle. Pendant toute la première année, elle fabrique des réserves en sucre dans ses racines, puis se reproduit sur la deuxième année.
La récolte a lieu dès la fin de la première année, en automne et dure environ 80 à 110 jours.
Pour la canne, les tiges sont coupées au bout de 10 à 12 mois lors de la période de maturation, puis cultivée pendant 5 ans. La durée des campagnes varie selon les pays : dans l’hémisphère Nord de février à juin, dans l’hémisphère Sud de juillet à décembre.
Eh oui, Daddy y croit dur comme fer : les meilleures choses ont besoin de patience.
Pas de panique, Daddy vous explique en 1 clic !
Avant d’atterrir dans vos yaourts ou dans vos pâtisseries, voici le petit voyage de votre sucre Daddy !
Les betteraves sucrières sont récoltées en France, entre mi-septembre et mi-janvier, puis livrées à la sucrerie. Les champs de betteraves sont au plus près de nos usines (rayon moyen de 30km !!).
Elles sont ensuite lavées pour éliminer les impuretés extérieures (herbes, terres, cailloux). Une fois nettoyées, elles sont découpées en cossettes (fines lamelles) pour en extraire le jus naturellement sucré.
Intervient ensuite l’étape de diffusion qui permet d’extraire le jus sucré des cossettes. Les impuretés présentent dans le jus sucré sont ensuite filtrées puis éliminées. Le jus épuré contient encore à ce stade 85% d’eau. Cette eau sera éliminée par évaporation jusqu’à obtenir un sirop (cerise sur le gâteau, cette eau sera utilisée dans le process pour notamment produire notre électricité !).
Le sirop poursuit sa concentration et va se cristalliser petit à petit grâce à de très fins cristaux de sucre glace introduits dans le sirop. L’ensemble est ensuite placé dans des essoreuses qui permettent l’évacuation du sirop et la séparation des cristaux de sucre. Encore humide, les cristaux de sucre sont séchés puis refroidis.
Le sucre cristallisé blanc est ensuite tamisé, classé et pesé, puis dirigé vers l’atelier d’ensachage ou vers de grands silos dans lesquels il sera conservé.
Notre objectif est de pouvoir vous livrer toute l’année, jusqu’à la prochaine campagne de production.
Elle a plus d’un tour dans son sac…
Si vous saviez tout ce qu’elle est capable de faire !
Une sucrerie produit également plusieurs co-produits du sucre, fabriqués durant le processus de fabrication du sucre.
Accrochez-vous bien, c’est parti !
Alors, surpris ?
Tous cousins au 1er degré !
Entre sucres blancs, qu’ils soient de betterave ou de canne, il n’y a aucune différence en goût !
En revanche, nos beaux roux de canne renferment des notes de cannelle ou de rhum, quand nos roux de betterave rappellent plutôt le caramel.
D’un point de vue nutritionnel, les sucres roux apporte des minéraux qui ne sont pas présents naturellement dans le sucre blanc.
L’une est plus raffinée que l’autre…
Eh bien finalement, pas grand-chose ! Les matières premières utilisées par la sucrerie sont la betterave sucrière ainsi que la canne à sucre, desquelles on extrait le sucre par cristallisation.
A la différence de la sucrerie, la raffinerie blanchira le sucre roux en lui enlevant ses impuretés et en le recristallisant.
On n’est pas raffiné, on est bien plus que ça !
Le sucre raffiné est du sucre de canne que l’on a débarrassé de ses matières végétales colorantes pour le rendre blanc.
Il ne représente que 4% des sucres blancs commercialisés en France.
Le sucre de betterave, lui, représente les 96% restants et est naturellement blanc.
Chez Daddy, 100% de nos sucres blancs sont non-raffinés !
On n’est pas raffiné, on est bien plus que ça !
Le sucre de betterave est naturellement blanc. D’ailleurs, une betterave sucrière est blanche (et non rouge, comme celle que nous mangeons en salade). Les sucres blancs Daddy ne sont pas raffinés, c’est ce qui fait leur authenticité.
Eh oui, Daddy veille au grain… de sucre 🙂
En revanche, il existe dans certains produits du sucre de canne blanc : il a, quant à lui, été raffiné afin d’en extraire les matières végétales colorantes.
Pas de panique, Daddy vous explique tout en 1 clic !
Avant d’atterrir dans vos yaourts ou dans vos pâtisseries, le sucre Daddy fait un long voyage ! Et ce n’est pas un long fleuve tranquille.
La récolte des cannes varient selon le lieu de culture : elles sont récoltées de juillet à novembre à la Réunion, et de février à juin aux Antilles.
A la différence des betteraves, le jus de canne est extrait par broyage des petits morceaux de canne et non par diffusion. En revanche, le reste du processus d’extraction est le même que pour la betterave sucrière.
Une fois le jus de canne obtenu, on le sépare de la bagasse (la canne broyée). La suite de l’histoire est la même que pour la betterave ! Après la cristallisation et l’essorage du sucre de canne, on obtient « l’eau mère », chargée en sucre. Ce sirop est cuit, essoré et donne un sucre de « deuxième jet » qui est coloré. Le sirop obtenu grâce à ce deuxième jet subit de nouveau les mêmes étapes et donne un sucre brun : le sucre roux.
Il en reste ensuite un sirop visqueux que l’on appelle « la mélasse », que l’on retrouve par exemple dans la composition de desserts, de bonbons, ou dans l’alimentation du bétail. Elle peut même être utilisée dans des marinades de viandes ou poissons pour des recettes sucrées-salées.
Daddy, l’ami des animaux !
Anciennement, le noir animal a été utilisé dans les processus de raffinage des sucres. Aujourd’hui, et depuis plus de 40 ans, il n’est absolument plus utilisé en France !
Plus on est de fous, plus on rit !
Il existe beaucoup de plantes produisant du sucre, mais la majorité ne sont pas exploitées. On trouve du sucre dans toutes les plantes qui contiennent de la chlorophylle, c’est-à-dire dans des arbres, des fruits, des feuilles, et même des sécrétions animales !
Les autres plantes sucrantes qui peuvent se substituer aux sucres de canne ou de betteraves sont la stévia, le fleur de coco ou encore l’agave.
Un peu d’histoire, ça ne fait pas de mal !
Avant de connaître le sucre, le miel était la principale substance sucrante utilisée. C’est au cours du VIème siècle que la canne à sucre se développe en Asie et devient un produit très rare et surtout très cher. C’est seulement après la découverte de l’Amérique que des plantations de canne à sucre apparaîssent en Amérique du Sud.
La betterave sucrière, elle, est née des suites d’un blocus des approvisionnements de sucre de canne. Napoléon souhaite développer la culture de la betterave sucrière en France et la première sucrerie voit le jour au début du 19ème siècle.
Une petite touche d’exotisme 😉
La canne à sucre est une plante tropicale dont la tige contient du sucre, appelé jus sucré. Connue depuis la préhistoire, elle s’est développée massivement au 17ème siècle, notamment dans les anciennes colonies françaises.
La canne à sucre étant frileuse, on la trouve principalement en Amérique du Sud, en Asie et aux Antilles, où les climats sont plutôt tropicaux. Les tiges sont coupées au bout de 10 à 12 mois lors de la période de maturation, juste avant la floraison et la production de graines, qui font chuter le taux de sucre. Elles sont ensuite amenées à la sucrerie, pour fabriquer votre sucre Daddy préféré !
Contrairement à la betterave qui doit être semée tous les ans, la canne est sucre est coupée, et repousse l’année suivante. Au bout de 5 ans, de nouvelles pousses sont plantées car au cours du temps la canne perd en rendement.
L’origine de nos sucres blancs !
La betterave sucrière est une variété de betterave différente de la betterave rouge que l’on mange en salade par exemple. Utilisée principalement pour la production de sucre, nos betteraves stockent dans leur racine le sucre produit par les feuilles grâce à la photosynthèse.
C’est une plante bisanuelle : elle développe un appareil végétatif la première année et entame sa phase reproductive lors de la deuxième année. La betterave sucrière est récoltée à la fin de la première année, avant la floraison, lorsque la racine est gorgée de sucre.
Timide, elle ne montre que son bouquet de feuilles. Sa racine, sous terre, est naturellement blanche et permet donc la production de sucre naturellement blanc.
Parce qu’avant d’être au placard, le sucre vient de la terre !
La betterave sucrière, naturellement blanche, contient le jus sucré (saccharose) qui donnera naissance à votre sucre Daddy préféré. Le sucre de betterave est donc non blanchi et non raffiné.
Du côté des cannes, le jus sucré contenu dans la canne est extrait, purifié, concentré puis cristallisé sans aucune altération ni transformation chimique. La mélasse, naturellement présente dans les cannes à sucre, enrobe chaque grain de sucre. Un sucre de canne peut donc être naturellement roux ou plus clair (blond), directement lié à la présence de mélasse en quantité plus ou moins importante.
Il existe aussi d’autres produits sucrants issus des feuilles de stévia, de la plante agave bleue, ou de la fleur du coco.
Plusieurs sources d’approvisionnement existent, en fonction de la disponibilité des matières.
Notre cassonade peut donc provenir de la Guadeloupe, de la Réunion ou de l’Île Maurice mais aussi d’autres origines sud-américaines ou africaines selon la typicité recherchée (grain, couleur, goût).
Nos cassonades sont toutes différentes d’un point de vue organoleptique, colorimétrique ou granulométrique mais de qualité identique en termes de réglementation alimentaire. Il en va de même pour nos sucres de canne bio.
Certifiés IFS, nous avons la capacité de suivre la traçabilité de nos produits en cas de problématique ou risque identifié.
Daddy gagne des cheveux blancs, mais ne prend jamais une ride !
Le sucre n’est soumis à aucune date limite de consommation dans le temps car il ne périme pas ou ne moisit pas : les bactéries ne peuvent pas s’y développer et le sucre fait donc partie des aliments non périssables.
Quelques sucres sont soumis à des dates de consommation comme les sucres spéciaux pour confitures ou gelées.
Attention tout de même, ces petits grains sont de vrais sensibles ! Ils devront être gardés bien au sec et à l’abri de la lumière, idéalement à une température de 15 à 25°C, et éviter les chocs thermiques, tout contact avec des surfaces humides ou une trop grande proximité avec des produits fortement odorants (on vous l’avait dit, ces grains sont des précieux!).
Daddy gagne des cheveux blancs, mais ne prend jamais une ride !
Le sucre n’est soumis à aucune date limite de consommation dans le temps car il ne périme pas ou ne moisit pas : les bactéries ne peuvent pas s’y développer et le sucre fait donc partie des aliments non périssables.
Quelques sucres sont soumis à des dates de consommation comme les sucres spéciaux pour confitures ou gelées.
Attention tout de même, ces petits grains sont de vrais sensibles ! Ils devront être gardés bien au sec et à l’abri de la lumière, idéalement à une température de 15 à 25°C, et éviter les chocs thermiques, tout contact avec des surfaces humides ou une trop grande proximité avec des produits fortement odorants (on vous l’avait dit, ces grains sont des précieux!).
Pas de panique, Daddy vous explique tout en 1 clic !
Avant d'atterrir dans vos yaourts ou dans vos pâtisseries, le sucre Daddy fait un long voyage ! Et ce n'est pas un long fleuve tranquille.
La récolte des cannes varient selon le lieu de culture : elles sont récoltées de juillet à novembre à la Réunion, et de février à juin aux Antilles.
A la différence des betteraves, le jus de canne est extrait par broyage des petits morceaux de canne et non par diffusion. En revanche, le reste du processus d’extraction est le même que pour la betterave sucrière.
Une fois le jus de canne obtenu, on le sépare de la bagasse (la canne broyée). La suite de l’histoire est la même que pour la betterave ! Après la cristallisation et l’essorage du sucre de canne, on obtient « l’eau mère », chargée en sucre. Ce sirop est cuit, essoré et donne un sucre de « deuxième jet » qui est coloré. Le sirop obtenu grâce à ce deuxième jet subit de nouveau les mêmes étapes et donne un sucre brun : le sucre roux.
Il en reste ensuite un sirop visqueux que l’on appelle « la mélasse », que l'on retrouve par exemple dans la composition de desserts, de bonbons, ou dans l'alimentation du bétail. Elle peut même être utilisée dans des marinades de viandes ou poissons pour des recettes sucrées-salées.
